Facteurs de réussite du traitement avec des mini-implants et leur importance pour la pratique – Implantologie pratique et prothèses implantaires pip 4 | 2010
Implantologie pratique et prothèses implantaires pip 4 | 2010
Facteurs de réussite du traitement avec des mini-implants et leur importance pour la pratique. Enquête prospective sur les cas de patients sur une année
Littérature des auteurs: Henriette Lerner, Ady Palti
Le succès clinique des mini-implants dépend de divers paramètres, qui sont également interdépendants. Dans la présente étude, il a été examiné l’existence d’une corrélation entre le diamètre des implants insérés et la stabilité primaire. Différentes densités osseuses spécifiées par ce cas patients ont également été prises en compte. De plus, l’ostéointégration et la profondeur des poches péri-implantaires ont été documentées sur une période d’un an après l’implantation. L’influence du diamètre de l’implant et du type de structure d’implant sur le taux de réussite a été déterminée.
Conclusion
Sur la base des résultats obtenus dans le cadre de la présente étude, un taux de réussite similaire à celui des implants classiques peut être attendu lors de l’utilisation de mini-implants pour la stabilisation de prothèse. Étant donné que le succès est en corrélation avec la stabilité primaire, elle peut déjà être estimée avec la clé à cliquet laquelle indique le couple de serrage. Si la valeure est dans la plage limite (≈ 35 Ncm), un léger rebasage doit être effectué en cas de doute. Selon le cas, il faut également vérifier si un autre mini-implant peut être inséré pour une meilleure stabilisation. Si vous avez le choix, vous devriez plutôt en choisir un légèrement plus grand, c’est-à-dire préférez l’implant de 2,1 mm au lieu de 1,8 mm ou l’hybride MDI de 2,9 mm de diamètre au lieu de l’implant de 2,4 mm.
Il va sans dire que des rendez-vous de controle rapprochés sont recommandés, en particulier afin de pouvoir suivre en temps opportun l’évolution de l’ostéointégration. Elle n’est en aucun cas obtenue après six mois, mais subit généralement une amélioration significative au cours des six mois suivants.
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Dr. medic.stom. Henriette Lerner
1990 Etudes de médecine dentaire (Université de Médecine et Pharmacie « Victor Babes » Temeschburg).
1990-1993 perfectionnement en chirurgie buccale à l’Académie de formation dentaire de Karlsruhe.
1995 Formation à la Goldman School of Dental Implantology / Boston, Massachussets.
1998 spécialiste DGZI.
2004 DGOI Expert Implantologie.
Spécialisation 2006-2007 «Chirurgie dento-alvéolaire» Dr. Henriette Lerner (Université «Carol Davila» Bucarest).
2006 Pratique au Videnti Center for Implantology and Aesthetics, Baden Baden.
Membre de: DGOI; ICOI; EAO; ASA DGÄZ; DGZMK; BDO; EFOSS.
Conférencier national et international d’ esthétique en implantologie, implantologie mini-invasive, techniques avancées d’augmentation.